Piaf : une vie digne d’un roman !
Un sacré petit bout de femme, personnage hors du commun, il n’en fallait pas davantage pour que ce joyeux trio nous plonge dans l’histoire de la môme.
Une chanteuse comédienne et deux musiciens vont vous emporter dans un autre monde.
1 heure 30 de spectacle, à savourer comme un film ou une comédie musicale.
Les textes sont puissants, universels et intemporels.
Il y a une trame, une histoire , la légende se met en route….
extrait de presse : la vie des loisirs ( mars 2019 )
« Waw. Alors, là, nous avons pris une grosse, grosse claque émotionnelle. Un hymne à l’amour parle, sans surprise, d’Edith Piaf, mais vue par le prisme de ses nombreux amours.
Son fantôme et sa conscience rejouent le fil de sa vie, toutes ses relations qui lui inspireront ses plus grands succès (certains mettent leurs tripes sur la table, elle mit son cœur sur scène), les hommes qui écriront pour elle…
Amoureuse de l’amour, et honnie pour cela, c’est pourtant ce qui fut le fer de lance de ce personnage extraordinaire, elle qui revendiqua, jusqu’à son dernier souffle, Le droit d’aimer.
Et tout est parfait dans ce spectacle parfois tendre, parfois triste, parfois drôle. Il n’y a pas une virgule, pas un geste à changer.
Il est interprété par deux excellents musiciens, Claude Chevalier à l’accordéon, qui semble tout droit sortie des années folles, et Fabien Damide au piano. La voix de celui-ci accompagnera parfaitement celle de notre Piaf, Marielle Duroule.
Marielle est tout simplement fabuleuse : à la fois la Môme, à la fois sa conscience, elle passe de l’une à l’autre avec aisance et tendresse, elle l’imite avec respect, mais au niveau de la voix… C’était juste EXCEPTIONNEL. Dès la première chanson, nous avons eu des frissons. Ensuite, nous avons été impressionnés, subjugués, du début à la fin. Finalement, non, elle n’imite pas Piaf. Elle est Piaf.
Et ce n’est pas le public avec ses deux rappels et sa double standing-ovation qui me contredira… » Hellène Duhoo
« J’ai toujours eu peur des fantômes du passé » disait Edith… Aujourd’hui, c’est elle qui nous hante.
Ce spectacle est à la fois un tour de chant reprenant les plus belles chansons d’amour de Piaf mais c’est aussi du théâtre, l’occasion de découvrir des anecdotes croustillantes sur sa vie. D’ailleurs on ne peut dissocier ses romances de ses amours. Elle même disait : « mes chansons, c’est moi ma chair, mon sang, ma tête, mon cœur, mon âme ».
au chant : Marielle Duroule
au clavier : Fabien Damide
à l’accordéon : Claude Chevalier
régisseur son et lumière : Thomas Lambert
texte et mise en scène : Michaël Louchart
durée : 1h30
Article la vie des loisirs, Un hymne à l'amour
Waw. Alors, là, nous avons pris une grosse, grosse claque émotionnelle. Un hymne à l’amour parle, sans surprise, d’Edith Piaf, mais vue par le prisme de ses nombreux amours. Son fantôme et sa conscience rejouent le fil de sa vie, toutes ses relations qui lui inspireront ses plus grands succès (certains mettent leurs tripes sur la table, elle mit son cœur sur scène), les hommes qui écriront pour elle… Amoureuse de l’amour, et honnie pour cela, c’est pourtant ce qui fut le fer de lance de ce personnage extraordinaire, elle qui revendiqua, jusqu’à son dernier souffle, Le droit d’aimer.
Nous ne sommes pas de la génération Piaf, et j’ai découvert environ la moitié des chansons, quant à sa vie, hormis Marcel Cerdan, je n’en connaissais rien (si ce n’est que j’ai chanté l’Hymne à l’amour à notre mariage, je vous laisse donc imaginer notre réaction à l’écoute de l’interprétation). Et tout est parfait dans ce spectacle parfois tendre, parfois triste, parfois drôle. Il n’y a pas une virgule, pas un geste à changer. Cette pépite nous est offerte par Mickaël Louchart et Florian Hannsens pour la mise en scène, mêlant à la fois l’intime de la loge ou du salon au pied de micro de la scène. C’est ça Piaf, le privé et le public qui se fondent en une seule émotion. Elle est interprétée par deux excellents musiciens, Claude Chevalier à l’accordéon, qui semble tout droit sortie des années folles, et Fabien Damide au piano. La voix de celui-ci accompagnera parfaitement celle de notre Piaf, Marielle Duroule. Marielle est tout simplement fabuleuse : à la fois la Môme, à la fois sa conscience, elle passe de l’une à l’autre avec aisance et tendresse, elle l’imite avec respect, mais au niveau la voix… C’était juste EXCEPTIONNEL. Dès la première chanson, nous avons eu des frissons. Ensuite, nous avons été impressionnés, subjugués, du début à la fin. Finalement, non, elle n’imite pas Piaf. Elle est Piaf.
Et ce n’est pas le public avec ses deux rappels et sa double standing-ovation qui me contredira…
Article de La Voix du Nord 22 Mars 2019
Hallennes-Lez-Haubourdin,
Marielle Duroule se glisse dans la peau sacrée de La Môme Marielle Duroule, entourée d’un pianiste et accordéoniste, fait revivre sur scène La Môme, à coups de chansons et d’anecdotes sur son destin hors du commun. Un hymne à l’amour déballé ce samedi aux Lucioles, l’espace culturel de la commune. Lylian Casier | 22/03/2019
Marielle Duroule délivre des anecdotes sur Piaf, à l’occasion de sa représentation. – Florian Fouchet
Pourquoi avoir décidé de rendre hommage, comme beaucoup d’autres, à Edith Piaf ?
Parce que ses textes sont puissants, universels et intemporels. Elle vous dit, dans plusieurs chansons, qu’il y a toujours moyen de remonter la pente. C’est une leçon de vie. Et puis le personnage est incroyable. C’était une des premières punks de l’histoire de la chanson. Elle a eu une vie faite d’aventures, notamment amoureuses.
Qu’y a-t-il dans ce spectacle ?
Il faut le voir comme un film ou une comédie musicale. Il y a une trame, une histoire. Bien sûr, la chanson est omniprésente, puisqu’on reprend 18 textes, parfois méconnus, mais c’est aussi une pièce de théâtre, avec une double narration. Il y a Piaf, et moi qui raconte Piaf. Je chante et je parle !
Et c’est assez millimétré. Forcément, pour vous glisser dans sa peau, vous la connaissez par cœur… J’ai lu des biographies, qui se contredisent d’ailleurs souvent, mais je ne suis pas obsédée. Quand je suis sur scène, c’est un peu comme si j’étais elle, mais je ne suis pas névrosée, je ne suis pas Piaf dans la vie de tous les jours.
Article La Voix du Nord 25 Mars 2019
Marielle Duroule a chanté et raconté Édith Piaf Samedi soir, sur la scène des Lucioles, l’œuvre d’Édith Piaf a été reprise pour partie par Marielle Duroule, avec une étonnante sincérité.
Une soirée appréciée. Pi.D. (Clp) | 25/03/2019
Le droit d’aimer, vive l’amour. Marielle Duroule a recréé l’illusion Édith Piaf. La voix aux intonations prononcées rappelant la frêle Édith sur scène, toute de noire vêtue, Marielle Duroule a livré, devant le public, une vraie prouesse l’espace d’une soirée.
Mon Dieu Laissez le moi encore un peu mon amoureux. Marielle Duroule a recréé l’illusion Édith Piaf. Le spectacle était composé de dix-neuf chansons, entrecoupées d’anecdotes sur la vie tumultueuse de la vedette de scène. Des anecdotes quelques fois surprenantes mais bien réelles, qui revisitent ses histoires d’amour : celle avec Marcel Cerdan (Laissez le moi encore un peu), ou le Bleu de tes yeux s’adressant à Charles Aznavour. Ovationnée par le public, Marielle, touchée, a chanté deux chansons en guise de remerciement.